Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover Diaper boy / Little boy
il y a 7 ans
Double vie
Chapitre 1 - Voir
« - Mister Volaar vient d'arriver Monsieur.
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Faites le entrer s'il vous plaît.
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Bien Monsieur. » Le soleil de mai avait du mal à percer au travers des stores aux lames baissées.
John Cooridge alluma une cigarette tandis que la porte s'ouvrait devant son collaborateur. Sans un mot, il le laissa s'écraser sur le cuir vieilli de l'unique fauteuil mis à disposition des visiteurs. Le regardant fixement, il lui lança sur le bureau une série de photographies : « Je ne pense pas que le Chef aimerait les recevoir...Neil ! ». Le dénommé Neil jeta un rapide coup d'oeil sur les épreuves avant d'allumer à son tour une cigarette. Se carrant dans le fauteuil, il étudia chaque photo :
«- Et ?
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Pardon ? Vous vous foutez de moi. C'est bien vous sur ces photos (se saisissant des premières). A quatre pattes en couche culotte, sur celle-là habillé en nouveau né, une tétine dans la bouche. Quant à celle là, c'est bien vous qu'une sympathique nurse blonde est en train de masturber dans un lange résolument... souillé !
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Je ne nie pas mais c'est ma vie privée.
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Privée mon cul ! Vous êtes un agent de la sécurité nationale. Celui qui m'a envoyé ces photos sait ce qu'il fait. Imaginez que le Sénateur G** les reçoivent. Un putain de scandale, oui. Et ça nous vaudra nos postes à tous les deux.
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Alors il faut éliminer le problème.
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Où ces photos ont été prises ?
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Ca je m'en charge même si je pense que la « propriétaire » des lieux n'est pas au courant.
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Je vous donne 48 heures pour régler cette histoire. Après, c'est moi qui ferai le ménage. Vous pouvez disposer.
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Ok. Je peux prendre les photos ?
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Vous en aurez une copie sur votre desk.
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Salut.
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Neil ?
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Oui ?
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Non, rien.» La porte se referma. John Cooridge alluma une nouvelle cigarette, étalant devant lui les photographies.
Neil nu, Neil attaché à un lit, Neil langé par deux filles de dos, Neil dans une couche souillée, Neil masturbé dans ses couches par une blonde, Neil dans une sorte de chaise haute avec une bavette autour du cou et habillé d'une sorte de barboteuse bleu clair, Neil le vêtement sur les chevilles et la couche sale à moitié défaite... Que pouvait-il passer à travers le cerveau d'un homme pour qu'il prenne son pied à être infantilisé de la sorte ?
John s'imagina être traité ainsi par sa femme, soupira, glissa les photos dans une enveloppe sur laquelle il précisa : « to Mary, x1 scan. coul > desk Neil V. Sec. 3 ». Aimerait-il être ainsi traité par une femme ?
N'avait-il pas comme fantasme de rencontrer une Amazone dominatrice qui conduirait la danse ?
Par curiosité, il ouvrit une session sur le Web. Ne sachant pas où chercher, il tapa : « couche », « sexe » et « adulte ». Une fois écarté les sites pornographiques qui associaient tous les mots clefs du dictionnaire à leur site, John découvrit un peu ébahi le monde étranger des Diaper Lovers et autres Adult Babies. Ne faudrait-il pas connaître tout de la sexualité de ses agents ? Qui sait si le cas de Neil était si exceptionnel...
Chapitre 2 - Entendre
Neil sortit du bureau de son chef avec une boule au ventre.
Merde, comment avaient-ils fait ? Sûr que Louisiana n'était pas au courant. Elle ne pouvait pas jouer à cela dans sa nursery, pas avec deux ou trois membres du Parlement, des huiles de l'administration locale et quelques businessmen hyper stressés.
Evidemment, il fallait bien qu'un jour il y ait des fuites. Mais de là à avoir des photos ; qui était derrière et quels étaient ses motifs ?
D'abord se débarrasser de cette affaire.
Neil tourna dans un couloir fermé par une porte vitrée :
ISIS Identification Surveillance et Inspection Service Code : ###### # Nom : Volaar La porte franchie, Neil se dirigea directement vers un pupitre où était assis un homme d'une vingtaine d'années.
« - Salut Bob. Laisse tomber ton job, j'ai une priorité 5 pour toi.
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Tiens 007 ! Et c'est quoi cette fois. Une Norvégienne, une Russe qui tue avec ses jambes...
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Moi. Enfin un sosie. Passe-moi toute la base au filtre. Il me ressemble comme mon reflet, mêmes âges et si possible il habite dans le coin.
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Pourquoi pas dans ton immeuble ?! Ok, je lance la recherche. Il me semble que j'ai déjà ton profil de programmé. Ouais, tiens. Je t'appelle ?
-
Je reste.
-
Ok mais ça peut être long. »
Il fallut deux heures à ISIS pour présenter une liste de 31 personnes dont le profil correspondait aux caractéristiques demandées : 4 aux traits similaires mais à la morphologie finalement trop différente 7 trop vieux 1 trop jeune 13 avec de fortes incertitudes sur le physique actuel 2 situations inconnues Restaient 5. Dans un rayon de 300 kilomètres restaient 2.
Adam Levine, 31 ans, 1.85m, 79kg.
Marié, épouse Catherine Desquires (Fr.), 32 ans.
Pas d'e n f a n t.
Adresse 5 Blue Moon street G** Salarié Forrester real-estate Emploi commercial Numéro sécurité sociale... Banque...
« - Ok, tu me balances son dossier sur mon desk.
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C'est parti. Et les autres ?
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Tu les gardes si j'ai besoin de doublures. Et contacte tes collègues de la Douce. Je veux ce gars sur écoute 24/24. »
Trois heures plus tard, le cabinet de chasseurs de têtes Dumcanh et Dumcanh proposait à Adam Levine de le rencontrer pour un poste dont le salaire devrait dépasser toutes ses espérances. Dumcanh et Dumcanh étaient prêts à envoyer un de leurs avocats à G** pour éviter à Monsieur Levine de se déplacer. Pourrait-il décaler ses engagements pour se rendre libre demain matin à 08 :30 ? Parfait, à demain.
Chapitre 3 - Sentir
Le marché de l'immobilier était assez calme à cette période. Cela tenait certainement au fait que l'économie nationale était en état d'expectative ; les gens bougeaient moins, en tout cas dans les environs de G**. Adam reposa son combiné mobile sur le cuir du fauteuil de la voiture. Que devait-il penser de cette offre soudaine ? Comment avaient-ils récupéré son numéro de téléphone ? Devait-il mettre au courant Catherine ? Non, tant que rien n'était plus précis, il ne dirait rien et encore moins à ses patrons. Il plaça rapidement un coup de fil auprès de sa secrétaire pour placer deux ou trois rendez-vous fictifs qui lui dispensaient d'être au bureau demain matin.
Garant son coupé le long du trottoir, il regarda comme une promesse la maison aux formes imposantes qui se dressait devant ses yeux. Le téléphone sonna :
« - Catherine.
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Ce soir je dois aller voir Monica. Je rentrerai tard.
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Soirée entre filles ?
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Oui, un trip de vilaines lesbiennes... Ca te tente ?
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Sans façon. Comme je dois partir tôt demain matin, on a des chances de ne pas se croiser avant le week- end.
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Ce qui ne m'empêche pas de t'aimer...
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Et moi de penser à toi. Il faut que je te quitte, je t'embrasse.
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Bises.»
Puisqu'il avait la soirée en célibataire, Adam passa d'abord au KFC avant de rentrer chez lui, profiter d'un navet quelconque à la télé. Vers 22 :30, il alla sa coucher et dormit d'un trait jusqu'au lendemain 05 :30. En se réveillant il effleura l'épaule de Catherine, sentit es effluves légères de son parfum avant d'embrasser son bras. Catherine eut un léger mouvement mais ne se réveilla pas. Il était 08 :25, lorsqu'Adam arriva à l'hôtel où il avait rendez-vous. Chambre 1005, en fait presque un appartement.
« - Monsieur Adam, je suis Monsieur Wilson. Enchanté de vous rencontrer.
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Moi de même.
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Café ou thé ?
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Café, noir s'il vous plaît.
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Denis...
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Je n'ai pas bien compris de quoi il s'agissait hier au téléphone.
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Je vais vous expliquer, mais je vous en prie buvez d'abord votre café avant que nous commencions.
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Merci.
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Je vérifie d'abord mes informations. Vous êtes Adam Levine, né à L** en 1972, marié depuis 4 ans, sans progéniture ?
-
Exact. Et... » Une sensation étrange envahit Adam, comme si il s'enfonçait dans une sorte de brouillard qui masquait progressivement toutes les formes. Même son bras lui semblait lointain, il...
(...) Il avait la bouche pâteuse, il chercha à l'ouvrir mais quelque chose l'en empêchait. Main droite. Etait-ce sa main ? Prise dans une sorte de moufle en satin rose avec un ruban qui serrait le poignet ; l'autre main...pareil !
Adam brusquement se redressa ou du moins essaya de se redresser car quelque chose semblait le retenir au niveau des épaules. En jetant un coup d'oeil, il s'aperçut que son horizon était limité de chaque côté par une paroi en tissu de satin blanc qui faisait comme s'il était dans un cercueil. Il est mort ! Non, ce n'est pas possible, il rêvait. Il donna un coup de pied dans ce qu'il identifia comme une couverture de laine blanche. Mais où était-il ? En s'efforçant de crier, il n'obtint qu'un faible bruit étouffé. Soudain, un visage apparut au dessus de lui. C'était celui d'une jeune fille rousse d'une vingtaine d'années. Elle portait une blouse blanche. Serait-il à l'hôpital ?
« - Oh, mais le gros bébé est réveillé ? Tu as bien dormi ma puce (bise sur le front, senteurs de jasmin). Je suis sûr que tu es tout mouillé. (Défaisant la couverture et rabattant sur son visage ce qui semble être comme une chemise de nuit). Oh mais oui, il a fait un gros pipi dans sa couche, on va arranger cela.
Suzanne ?
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Bonjour bébé boy. Regarde-le il est encore tout endormi. Hum... ça ne sent pas que le jasmin ici, je sens que notre bébé a utilisé sa couche par les deux endroits.
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Umf...
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D'abord on te change, après tu auras ton biberon. Donne ta main... Tu veux pas, alors punition. »
Adam sentit alors comme une décharge électrique qui lui brûlait le bas ventre. Immédiatement, il tendit ses deux mains qui furent tirées en arrière et certainement attachées à un barreau. Ensuite, les murs de satin qui l'entouraient furent descendus lui laissant voir une pièce qui ressemblait à une nursery avec un papier peint rose à oursons d'argent et des meubles de bois blanc. Les filles se saisirent alors de ses pieds et les sécurisèrent, l'obligeant à écarter les jambes de façon grotesque.
« - Tu veux voir ta toilette bébé ? Suzanne apporte le miroir.
- Tiens regarde. »
Adam eut du mal à se reconnaître dans ce reflet, le visage encadré d'une sorte de bonnet plissé en soie rose Vichy, une robe courte qui lui couvrait le torse et une culotte du même satin à moitié baissée sur une couche comme en portent les bébés. Par ailleurs, une grosse tétine prenait entièrement sa bouche, solidement fixée apparemment derrière sa nuque.
Tandis qu'il contemplait ce misérable spectacle, Suzanne et sa compagne avaient entrepris de la déshabiller ou du moins de lui retirer sa couche.
Après avoir défait les élastiques, elles ouvrirent la couche, salie d'urine et aussi de traces marron.
Subitement ses jambes furent tirées en arrière, lui soulevant complètement le bas des fesses. Il pouvait ainsi voir ainsi ses fesses qui étaient entièrement barbouillées d'une matière épaisse qu'il n'eut aucun mal à identifier comme des excréments.
« - Le vilain garçon a fait caca dans sa culotte.
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Il n'est pas près d'avoir le pot.
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Puisqu'il aime faire dans sa couche, il aura droit à un petit cadeau...
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...Et à une double couche bien épaisse ! Passe moi le coton. » Et elles commencèrent à nettoyer le postérieur d'Adam avant de glisser leurs mains vers son sexe.
Spontanément, il se mit à bander tout en rougissant. Les deux filles n'eurent pas l'air de s'en rendre compte et continuèrent leur travail. Puis les cheveux roux versèrent un liquide froid et huileux sur ses fesses et appliquèrent la lotion sur sa peau, prenant soin de bien passer entre son anus et son sexe.
Suzanne avait mis des gants de latex et versa à son tour du mélange huileux directement sur les fesses d'Adam. Puis elle glissa un doigt lubrifié dans son anus à qui elle imprima un va-et vient. De l'autre main, elle prit la verge d'Adam et commença à le masturber.
Tandis qu'elle imprimait de lentes secousses à son sexe, elle continuait son travail avec les fesses du jeune homme, glissant un, puis deux et finalement trois doigts dans l'anus dilaté.
Adam ne pouvait s'empêcher d'éprouver un plaisir intense à la sollicitation de ses geôlières et laissait échapper de petits gémissements de temps en temps.
Finalement, il ne put se retenir et éjacula dans un long jet de sperme dont une partie de façon ridicule lui jaillit au visage.
Recouvert de son sperme, le désir anéanti, honteux de la situation, Adam subit encore les attouchements de Suzanne et de sa compagne. Toutes les deux souriaient et tranquillement introduisirent un, deux suppositoires dans l'anus martyrisé d'Adam.
Puis elles aspergèrent généreusement ses parties intimes de talc. La poussière blanche en tombant fit éternuer Adam. Enfin ses jambes furent rabattues sur une couche qu'il devina au contact très épaisse. Ensuite, la partie avant fut rabattue sur son sexe vaincu et sans ménagement, le plastique de la couche fut tiré de chaque côté pour être étroitement ajusté avant d'être fixé par six adhésifs.
Puis, Suzanne revint avec une culotte en plastique bleu clair dont elle fixa les boutons pressions autour des cuisses du jeune homme.
« - Bébé, on va maintenant t'habiller.
-
Il faut être très sage.
-
On va te détacher.
-
SI tu cherches à nous échapper...
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Sache que tu as été filmé et que derrière la porte, il y a deux infirmiers qui savent jouer de la sonde...
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(détachant la tétine) Compris ?
-
Mais qui êtes-vous ?
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Chut (claque) tu réponds mais tu poses pas de questions (bise). Compris ?
-
Com... compris.
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Bien, comme tu es très sage, je te laisse choisir. Tu préfères rester en Sissi ou tu aimerais davantage porter un joli costume de marin ?
-
Mais...
-
Vite où c'est nous qui choisissons.
-
Le marin !
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Tu comprends vite, ton éducation sera facile. » Et Adam fut détaché avant d'être relevé.
Aurait-il pu fuir ? Il ne savait pas où il était, qui étaient ces gens, ce qu'ils voulaient et quelles étaient leurs intentions. Et s'enfuir dans cette tenue ridicule, non, il ne pouvait décemment pas. Il releva la tête tandis que Suzanne lui présentant un ensemble d'une pièce présentant une culotte courte en velours bleu, le haut prenant la forme d'une vareuse du même bleu mais brillant comme si la matière était faite d'une sorte de latex.
La fille rousse lui retira la robe qu'il portait et défit le bonnet. D'une tape sur la tête, elle lui indiqua de se mettre debout, puis de se courber les bras en avant.
Le vêtement fut passé par dessus ses épaules comme une tunique. En fait les jambes étaient ouvertes à l'intérieur par des boutons pressions « pour changer facilement les couches ». La vareuse sentait effectivement très fortement le caoutchouc. Et tandis qu'il se tenait ainsi débout, ses moufles furent changées pour d'autres blanches rayées de bleu qui lui obligeaient à fermer entièrement les poings.
Socquettes blanches, tennis blanches, béret avec un pompon rouge fixé sous le menton. Flexion, une fois, deux fois,... L'inconfort du fait de l'épaisseur de la couche était amplifié par les matières qu'il portait ; immédiatement il transpira.
Suzanne qui s'était retirée dans un autre coin de la pièce revint avec une sorte de blouse de coiffeur en plastique jaune dans lequel elle engouffra les bras d'Adam avant d'attacher le tablier dans le dos. Puis elle plaça de la même façon un bavoir en coton éponge orange et enfin un autre bavoir de plastique dur, finissant par une sorte de réceptacle à sa partie la plus basse.
« - Mais comme il est mignon.
-
Sûr qu'il va manger gentiment. Viens. Dis oui maman.
-
Oui maman.
-
Donne la main poussin.
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Viens t'asseoir dans la grande chaise. Là, voilà, je referme la tablette et je fixe le harnais pour que bébé tombe pas.
-
Tu as faim mon amour.
-
Euh, n... oui.
-
Biberon ou bouillie d'abord ?
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S'il vous plaît...
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(Claque puis cuillère remplie d'une sortie de bouillie d'avoine poussée dans la couche) Mange. » Cela dura peut-être dix minutes et la bouillie semblait toujours se renouvelée. A peine une cuillère était elle placée entre ses lèvres qu'une autre était apprêtée.
Vinrent ensuite les biberons, dont la tétine laissait couler le lait sur le bavoir, puis celui de jus d'orange et un dernier d'eau sucrée.
Alors pour terminer, il fallut qu'Adam mange tout ce qui avait coulé de sa bouche ou des biberons et avaient formé une sorte de lavasse écoeurante au fond de la partie creuse du bavoir. Essuyé ensuite avec la bavette en coton et laissé attaché sur sa chaise « pour qu'il fasse son rot », Adam chercha à évaluer la situation.
Il était habillé en garçonnet et muni de couches. Deux jolies filles agissaient en geôlières et le menaçaient d'avoir enregistré des images. Il avait fait sur lui comme un bébé, été masturbé (et pris du plaisir !), nettoyé et nourri au biberon.
Quelle heure était-il ? Que se cachait derrière ses murs, cette glace... glace ?! Le coeur battant, Adam baissa les yeux, cherchant à camoufler son visage. Dans tous les films d'espionnage, les miroirs étaient sans tain, offrant une vue en plein angle à la caméra qu'ils dissimulaient.
Les instants devinrent des moments ; était-il seul maintenant ? Il avait chaud sous ses épaisseurs de plastique, il pouvait sentir sa transpiration qui coulait le long de son corps.
Soudain, une douleur lui déchira l'estomac. D'instinct il resserra ses sphincters, la douleur s'amenuisa.
Quelques minutes plus tard, elle revint plus forte. Il commença à transpirer plus fort ; impossible de défaire le harnais qui le tenait immobile, impossible de sortir de cette chaise.
Finalement à la cinq ou sixième contraction, il n'eut pas la f o r c e de résister et dans un bruit de flatulence grossier, il laissa ses intestins se déverser dans la couche. Immédiatement, sa vessie poursuivit le travail et il lui sembla que plus rien ne pourrait arrêter le flot d'urine.
Il entendit d'ailleurs rapidement un floc caractéristique d'un liquide sui s'écoulait sur le sol depuis une certaine hauteur. Mort de honte, il se mit à pleurer tout en cherchant du regard un aide quelconque.
Finalement, il se décida à appeler. Suzanne arriva presque immédiatement. :
« - Qu'est ce qu'il y a mon canard ?
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S'il vous plaît, je vous donnerais de l'argent, je...
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Tu veux partir ?
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Oui , oui, je vous en prie, je...
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D'accord minou, simplement avant (défaisant la tablette de la chaise puis les harnais), installe toi là (le guidant sur un drap de caoutchouc posé sur le sol). Laisse moi défaire ton pantalon. Là, bien. Maintenant masturbe toi en regardant le miroir là-bas. Fais passer ton zizi par dessus la couche.
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Mais je peux pas ! Non pas ça.
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Mais si, tiens prends dans ta main. » Et elle commença à mordiller l'oreille d'Adam en lui glissant une main sur les paupières, caressant ses cheveux de l'autre main. « Je sais que tu aimes cela, petit cochon, laisse-toi faire. Tous les hommes aiment cela. Vas y mon bébé, plonge la main dans la couche, serre ton petit zizi. Ferme les yeux, c'est cela. Quand tu tétais le biberon, comme tu l'aurais fait de mes seins... »
Chapitre 4 - Toucher
Neil referma le classeur qu'il tenait entre ses mains et regarda Louisiana.
« - Les photos sont de bonne qualité. Je te marquerai celles qu'il me faut. T'as trouvé qui était à la source de mes fuites ?
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Pas encore mais on a pincé la fille. Ca devrait le faire.
-
Il me faut la réponse pour midi.
-
Disons minuit...
-
Aussi sévère en nurse qu'en partenaire.
-
Il faut savoir survivre. Les hommes ne sont pas toute leur vie de mignons bébés !
-
Tu l'as dit (sourire). Tu t'occupes de notre client. Il faut me rendre cela crédible.
-
C'est en cours. » (...) Catherine rentrait du lycée où elle enseignait le Français à quelques cancres un peu moins cancres que leurs condisciples. La matinée avait été calme mais elle gardait de la veille un mal de tête qui refusait de s'atténuer.
Elle pris deux cachets avant d'aller chercher le courrier : factures, prospectus, carte postale de Bangkok, journal, enveloppe brune marquée « Catherine L. ».
Assise sur le canapé défoncé de la véranda, Catherine ouvrit l'enveloppe. Cette dernière contenait des clichés d'un bébé ou plutôt d'un homme habillé en bébé. Et cet homme c'était sans aucun doute possible Adam.
Adam qui portait une couche, habillé en garçonnet, mangeant au biberon, une tétine à la bouche ou un bavoir autour du cou.
« Catherine, Il est des hommes qui ont besoin parfois de se sentir petits, de revivre des souvenirs d'enfance pour accepter les difficultés de la vie.
J'ai été la nurse d'Adam avant même que vous soyez mariés. En vous rencontrant, il pensait qu'il n'avait plus besoin de tout cela. En fait, il a craqué. Ce besoin de se sentir confortablement en couches, d'être habillé en petit garçon voire en petite fille est un élément de sa nature.
Mais je sais que de vous dont il a besoin.
Que ferez-vous ?
Déciderez-vous de l'abandonner parce qu'il a certains travers ? Ou serez-vous capable de trouver dans votre amour suffisamment de tendresse pour lui offrir cette île secrète dont il tant besoin.
J'ai volontairement choisi de vous envoyer ces photos pour rendre la réalité crue et surtout pour éviter à Adam d'avouer ce qu'il est incapable de vous dire. Je connais les hommes, j'en connais beaucoup et croyez moi ceux qui cherchent à revivre leurs vies de nourrisson sont les plus affectueux. Sincèrement, Deborah » Catherine relit la lettre, regarda ces photos qui étaient pour elle une atteinte à son couple, à son bonheur, à celui qu'elle croyait pouvoir construire avec cet homme qu'elle pensait connaître. Elle resta ainsi de longues heures et finalement, rangea les photos dans l'enveloppe et l'enveloppe dans une boîte à chaussures. Puis elle s'habilla. C'était vendredi, les courses au centre commercial voisin. Adam passerait la prendre à 06 :00 ; un klaxon résonna dans la rue.
(...) Adam avait regardé sa montre : 05 :15. Il était assis au volant de sa voiture garée le long du boulevard qui contourne la colline principale de G**. Avait-il rêvé ? D'instinct, il plaça sa main dans son pantalon ; non pas de couche.
Mais qu'avait-il fait toute la journée ? Personne n'avait appelé sur le mobile donc au bureau sa secrétaire ne s'était pas inquiétée de son absence. Se serait-il assoupi ? Rêvé de cette chose étrange ?
Il démarra, il serait juste à l'heure pour prendre Catherine avant d'aller au centre commercial.
(...) « -Neil, j'ai un nom.
-
Aboule.
-
Richard, Richard Klein, ça te branche ?
-
Ouais.
-
C'est qui ?
-
L'ex de mon ex qui s'est remise avec lui.
-
Pas simple.
-
Au contraire. Merci Louisiana. Je te vois mercredi.
-
Oui Neil. Je t'embrasse. » Neil regarda l'écran éteint de son ordinateur avant de décrocher son téléphone :
« - Han, j'ai un boulot pour toi, une livraison.
-
J'écoute.
-
Tu vas passer à la pharmacie acheter des couches pour les vieux...
-
Tu te fous de moi ?
-
Et tu vas les livrer à Richard Klein 2124 Park Avenue. Tu lui offres une semaine d'arrêt aux frais de la princesse. Pas de question, ok !
-
Ok et tu couvres comment ?
-
Je dirais pas à ta femme que tu te fais la stagiaire du service de repro.
-
Pauvre con.
-
Over. » Puis Neil alla frapper à la porte de John. A l'invite, il entrebâilla le battant :
« - C'est fait patron ; passé, présent, futur tout est clean.
-
Bien. Neil...
-
Oui chef ?
-
Non, rien.
-
Au fait John, il faudrait que je vous présente Louisiana un de ces jours. C'est une black qui a beaucoup de talents...
-
Oui, oui, merci.
-
De rien chef. »
Catherine :
Les centres commerciaux dès le vendredi soir c'est l'enfer. Je déteste cela plus que tout au monde. Nous avons commencé par passer au supermarché. Certainement que nous avons du oublié la moitié de ce que nous avions besoin ; le chat en pâtira.
A 19 :30, tout était dans la voiture. Adam m'a proposé de prendre un verre. J'ai dit oui. Nous avons été au Bear's Bar. C'est mieux que le nom ne le laisse présager.
Il est assis en face de moi et il est beau. Non pas de cette beauté qu'affichent les stars bodybuildées mais d'une beauté simple, peut-être davantage mignon que beau. Je l'aime.
Je n'étais plus en colère lorsque nous sommes repartis. Et en se dirigeant vers le parking, nous sommes passés dans une pharmacie. Je lui ai demandé de m'attendre et sans savoir pourquoi, je suis rentrée et j'ai demandé des couches pour adultes.
Pas le format droit mais le change complet, le plus épais qu'ils avaient. J'ai pris une taille XL pour incontinence forte. J'ai complété mes achats de lait, talc et de biberons...
Le pharmacien m'a regardé bizarrement mais je m'en moquais.
Je lui ai souri, j'ai payé et je suis sortie.
Adam regardait une vitrine de vêtements. Je lui ai tendu les couches en lui disant : « C'est toi que j'aime, avec ou sans couches et si tu veux être un bébé, j'accepte d'être ta maman. J'espère qu'un jour c'est toi qui changeras les couches de notre e n f a n t. » Il n'a rien dit mais il a rougit.
Adam : On a fait les courses comme d'habitude. J'avais tout en tête mais comme j'étais un peu déstabilisé, j'ai du oublié certains trucs. Ensuite, je me suis dit qu'il fallait que je parle à Catherine. Comme je ne savais pas comment m'y prendre, je lui ai proposé de prendre un verre pour virer le stress de la semaine.
En face d'elle, j'étais comme un e n f a n t, je ne pouvais rien dire. Nous avons bu notre consommation puis nous sommes partis. Alors que j'allais lui dire tout ce que j'avais vécu aujourd'hui, elle m'a dit qu'elle devait aller acheter quelque chose à la pharmacie.
Donc j'ai attendu dans le hall, regardant sans les voir les vitrines des marchands.
Soudain, elle m'a glissé un paquet de couches dans les mains et m'a déclaré qu'elle m'aimait. J'ai rien pu dire.
Je ne sais pas ce qu'elle sait et comment elle le sait mais ce soir là elle m'a langé et nous avons fait l'amour comme nous ne l'avions pas fait depuis longtemps.
Je m'endors dans cette couche qu'elle m'a solidement fixée à la taille et elle m'enserre de ses deux bras et j'aime cela.
Ai-je rêvé ?
Foxxy
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